Goranis, la cité des orques

Goranis est une grande ville d'Orques d’environs 100 000 habitants au climat tempéré, dirigée par un roi et surveillée par un grand nombre de soldats. Aux alentours, on y trouve les ruines D’Orgoth, l’ancien Goranis. Plus au sud, un grand péage ainsi que de robustes baraquements empêchant tout invité inopportun de passer. Tout au tour de la ville, de grandes tourelles où résident un bon nombre d’archers prêt à user de leurs flèches pour protéger leur domaine.

Au nord de Goranis se trouve toute la bourgeoisie de la ville, en effet, c’est le seul endroit du territoire où l’on y vit à peu près correctement. Avec un château, un temple et de belles maisons, cette partie du royaume fait rêver tous les esclaves. Bien sur, seul les guerriers du roi ainsi que ses sorciers peuvent y vivres.

Les autres sons condamnés à essayer de survivre dans de pauvres petites huttes de fortunes, situées au centre, où chacun essaye de survivre comme il le peut. Etant régulièrement surveillés par les guerriers royaux, les paysans orcs, dépourvus de réflexions ne peuvent qu’obéir à chaque ordres du roi ou de ses seigneurs sous peine de se faire exécuter sans pitié et de se faire jeter dans un trou qui, dit on, rejoint le fin fond des enfers. Cependant, comme dans toutes les communautés, de petits malins arrivent à faire du troc derrière le dos des autorités sachant pertinemment que s’ils venaient à se faire prendre, croupir dans la prison du château serait la plus clémente des punitions.

Au sud, le grand puits de l’enfer où les cadavres sont jetés occupe une majeure partie de la zone. Effectivement il se trouve qu’à l’intérieur de ce grand trou se trouve des mine que les orcs mineurs exploitent jours et nuits à la recherche d’or pour le roi.

L’ouest est le quartier militaire du royaume, on y trouve une caserne où reposent les puissants guerriers, une écurie où les chevaux de guerres sont entrainés pour ensuite être montés par les soldats, un camp de tir à l’arc où les futurs sentinelles archers apprennent l’art du tir et enfin l’école militaire où toute l’armée de Goranis apprend à combattre.

Enfin, à l’Est se dressent toute la production économique de la ville. De l’entrepôt au moulin, en passant par le camp bûcheron sans oublier la grande scierie, sans tous ces bâtiments, Goranis perdrait beaucoup de son argent et de sa réputation. Etant en période de guerre avec leurs anciens alliés les gobelins, le marché orc pactise aujourd’hui avec les trolls qui se régalent d’être les seuls acheteurs des deux camps…